jueves, 12 de enero de 2017

Mémoire d'un marin perdu, par une sirène

Mémoire d'un marin perdu,
par une Sirène

Rayés les ciels sont par des larmes brumeuses
et la lumière des soirs tempétueuses   
clarifie les silhouettes des marcheurs.
Et quand mes yeux se perdent
dans l'obscurité des abîmes,
je reconnais un bateau
qui porte des papillons au lieu de drapeaux.

Oh! Être un fantôme dans un fantôme
et dans ce fantôme les délires d'une aube 
composée par la fumée de l'opium.  
S'il vous plait! Écoutez la chanson de ma voix silencieuse
qui hante les tombes des fossils, morts il y a long temps,
bienvenir l'arrivée des hommes des cavernes réprouvés.

Des montagnes de sable et pierres volcaniques infestent cet endroit
et personne se rappelle de quand
la forêt a été pris victime des flames.
Une dôme tigré de blanc est en train de se noyer
dans les bras d'une machine de brouillard et lucioles
en embouant l'image d'un vessel qui disparait parmi le ciel de l'horizon.

Non! Ne prenez pas la mer,
ne abandonnez pas le "paradis" terrestre,
où aucune fleure ne fleurisse,
où aucun vent ne souffle,
où l'eau des rivières ne flux plus!   
Ne disparaissez pas de ma vue
quand le cygne qui habite dans ma bouche
peut t'attraper comme une mouche!


Periset (Tes i Rep)

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